Ce n'est pas sans une certaine fierté que nous constatons aujourd'hui que les règles fondamentales du Judaïsme ne sont plus « regardées de haut » (surtout par ceux qui ne les respectent pas) avec – au pire – un certain méprit, ou – au mieux – avec une certaine compassion.
Qui n'a pas entendu dans son entourage les remarques les plus sournoises du style :
« Quelle contrainte, cette religion ! »
ou les plus simplistes du style : « Quel mérite vous avez, vous les religieux ! »
mais qui traduisait souvent une forme de pseudo pitié sur ce qu'ILS s'imaginaient être insurmontables et que NOUS devions subir…
Baroukh Hachem, dans des domaines comme la cacherout alimentaire, le respect du Shabbat, des Haguim, l'organisation de la vie juive communautaire… les progrès et les adaptations à notre confort et notre qualité de vie ne sont plus à prouver.
Fallait-il s'en satisfaire et s'endormir sur ses lauriers ? C'était sans compter sur un des principes fondamentaux de notre tradition qui prône l'évolution constante dans les moindres détails de notre vie juive.
Mais voilà, il y a des thèmes qui font partie de la sacro sainte intimité. Celle qui se vit en silence, en secret. En croyant – à tort - que ce mutisme et cette résignation sont signe de pudeur.
Pour le judaïsme la pudeur n'est pas un sujet tabou.
Cette Tsniout doit se vivre avec épanouissement.
Et malheureusement, par discrétion et timidité – au meilleur des cas – ou par négligence et indifférence – au pire des cas – des couples se sont trop longtemps résignés à vivre une Taharat Hamishpaha un peu approximative…
Et lorsque le sujet était exposé, les couples se plaignaient d'une exigence halakhique peu conciliable avec les moyens à leur disposition. En particulier ; le fameux problème du lit…
Soyons honnêtes. Que pouvait-on dire à des jeunes mariés qui souhaitaient une évocation hollywoodienne dans leur chambre à coucher ? Quoi leur rétorquer quand ils faisaient allusion à ces périodes d'isolement qui deviennent des périodes d'isolation quand le mari (ou la femme ! tout dépend du niveau de machisme…) s'exile dans la pièce d'à coté parce que le lit n'est pas conçu pour être séparé ?
Tant de questions qui ont préoccupé Yaacov qui a décidé d'apporter des réponses concrètes à ce problème.
Le défi était de taille. Il fallait trouver un lit qui puisse résoudre tous ces petits tracas qui peuvent finir par devenir des gros soucis.
Il fallait proposer un lit à la fois d'une qualité irréprochable, d'un confort « haut de gamme », d'une manipulation d'une facilité infantile, qui réponde aux normes de Taharat Hamishpah, de Shalom Bayit, et de Chaatnez …
le tout à un prix défiant toute concurrence…
Eh bien il l'a fait !... Pour vous en assurer, nous l'avons rencontré. Il a accepté de répondre à nos questions avec précision et clarté. Une interview qui ne fera pas le lit de nos détracteurs…
Yaacov, vous êtes à l'origine de ce projet original : la mise en vente d'un lit conforme aux exigences halakhiques. D'où vous est venue cette idée ?
Y- A la fois d'une expérience personnelle et en discutant avec les personnes dans mon cas. Je me suis marié il y a moins d'un an, et il est vrai que de passer du stade « théorique » au stade « pratique » des lois de Taharat Hamishpaha, ce n'était pas toujours évident. J'ai vite remarqué que le point central de la difficulté venait des lits peu adaptés à ce qu'impose la Halakha.
CM- Vous dîtes que vous cherchiez une solution à 3 problèmes :
La Taharat Hamishpaha (la pureté familiale), le Shalom Bayit (la paix du foyer) et le Chaatnez (l'interdiction du mélange de laine et de lin). Pouvez-vous vous expliquer ?
Y - Comme vous le savez, en périodes de Nidda, le mari et la femme doivent dormir séparément. Les lits jusque là sur le marché offrait une solution limitée. Les lits jumeaux proposés étaient surtout conçus pour être indépendants. Or, pour les moments ou le mari et la femme peuvent dormir ensemble, ces lits pouvaient difficilement se rassembler.
Les lits que nous proposons sont joignables par un double scracth, sur toute la longueur du matelas, les sommiers se fixent l'un à l'autre à l'aide de deux crochets… Ce qui assure une stabilité parfaîte.
Vous parlez de Shalom Bayit. Croyez moi, l'harmonie et l'épanouissement d'un couple et largement garantie lorsque ce problème du lit est résolu.
Vous évoquiez le Chaatnez. Il nous a paru indispensable de demander l'avis aux Poskim sur les nécessités du Chaatnez pour un matelas. Il nous a été répondu que bien que ce Din (min Hatorah) soit applicable aux vétements ; le Shoulhan Aroukh Yoré Dea (chap. 31) stipule comme une recommandation rabbinique (midérabanan) de se soucier du Chaatnez également pour les matelas. Nous avons donc pris soins de ne vendre que des matelas sans Chaatnez (mélange de laine et de lin).
CM - Pouvez-vous nous donner un ordre de prix ?
Y - Nous avons plusieurs modèles : allant de 799€ à 2499€
Tout dépend des qualités , on a du Bultex, kiné renforcer (ressort bi-conique), Ressort ensachées, Latex, Mousse a mémoire de forme
Il faut préciser que ce sont des lits de grandes qualités ! Nous nous engageons également à assurer une prestation de qualité avec de hautes garanties :
Livraison, installation, montage GRATUITS !
(livraison assurée en 10 jours maximum).
Toute notre literie est assurée de 5 à 10 ans.
CM – Il ne nous reste plus qu'à vous demander où et comment vous contacter ?
Y - Yaacov : 06 64 47 89 64
ou par mail : hmliterie@gmail.com